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Le quatrième long-métrage de la sélection tricolore, signé de la Franco-Tunisienne Kaouther Ben Hania, relatant l’agonie d’une fillette palestinienne de 6 ans, a remporté le Grand prix du jury à la Mostra de Venise samedi soir. La récompense suprême revient au réalisateur américain de « Father Mother Sister Brother ».
À l'unanimité, la presse française de 1936 salua la verve satirique et le génie comique du nouveau film de Charlie Chaplin.
Au printemps 1936 sort en France Les Temps modernes, ultime film muet de et avec Charlie Chaplin, dans lequel son personnage de Charlot, ouvrier d'usine sur une chaîne de production, tente de survivre aux conditions de travail du monde industrialisé. La presse française, qui attendait depuis cinq ans le successeur des Lumières de la ville, y voit immédiatement une immense réussite.
Dans son dernier long métrage « le Grand Déplacement », l’acteur et réalisateur imagine qu’une agence spatiale panafricaine lance une mission sur une planète habitable. Rencontre avec un incurable optimiste.
Après Les Parfums, Grégory Magne met la musique classique à l’honneur dans une comédie tous publics portée par de vrais instrumentistes. Une jolie découverte
Thème
Après la mort de son père, un grand industriel amateur de musique, Astrid, une riche héritière, éprise elle aussi de classique (Valérie Donzelli), se met en tête de lui rendre hommage en réalisant son rêve : réunir un quatuor de Stradivarius pour un concert unique. Motif de ce concert donné en direct à la télévision devant un parterre deprivilégiés ?La création mondiale d’une partition écrite trente ans plus tôt par un compositeur contemporain désormais retiré du monde, Olivier Beaumont (Frédéric Pierrot).
Pour mener à bien son entreprise, Astrid recrute quatre musiciens. S’ils ont l’avantage de jouer chacun divinement, ils ont tous un ego démesuré et un sacré caractère. Les répétitions s’avèrent tellement houleuses, pour ne pas dire explosives, qu'Astrid ne voit pas comment ces quatre-là vont pouvoir, en moins d’une semaine, réussir à « s’accorder ». En désespoir de cause, elle appelle à la rescousse l’auteur de la partition…
Après Les Parfums, Grégory Magne met la musique classique à l’honneur dans une comédie tous publics portée par de vrais instrumentistes. Une jolie découverte
Thème
Après la mort de son père, un grand industriel amateur de musique, Astrid, une riche héritière, éprise elle aussi de classique (Valérie Donzelli), se met en tête de lui rendre hommage en réalisant son rêve : réunir un quatuor de Stradivarius pour un concert unique. Motif de ce concert donné en direct à la télévision devant un parterre deprivilégiés ?La création mondiale d’une partition écrite trente ans plus tôt par un compositeur contemporain désormais retiré du monde, Olivier Beaumont (Frédéric Pierrot).
Pour mener à bien son entreprise, Astrid recrute quatre musiciens. S’ils ont l’avantage de jouer chacun divinement, ils ont tous un ego démesuré et un sacré caractère. Les répétitions s’avèrent tellement houleuses, pour ne pas dire explosives, qu'Astrid ne voit pas comment ces quatre-là vont pouvoir, en moins d’une semaine, réussir à « s’accorder ». En désespoir de cause, elle appelle à la rescousse l’auteur de la partition…
Après Jackie et Spencer, Pablo Larraín boucle sa trilogie sur les icônes du XXe siècle avec un drame opératique inspiré des derniers jours de la Callas.