La Cinémathèque française accueille une superbe exposition consacrée au réalisateur hollywoodien, et particulièrement à ses nombreux croquis. Et oui, « Terminator » comme « Avatar » sont d’abord nés sur des bouts de papier…
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La Cinémathèque française accueille une superbe exposition consacrée au réalisateur hollywoodien, et particulièrement à ses nombreux croquis. Et oui, « Terminator » comme « Avatar » sont d’abord nés sur des bouts de papier…
Cinéma Benoît Magimel et Juliette Binoche sont les têtes d’affiche de la belle romance gastronomique de Tran Anh Hung, où bouillonnent une immense tendresse et une drôle de sensualité culinaire.
La Passion de Dodin Bouffant, de Tran Anh Hung, France, 2 h 14
On ne pouvait rêver mieux. La française Justine Triet, l’une des sept réalisatrices en compétition, s’est vue remettre la palme d’or par la sublime Jane Fonda, égérie de la gauche américaine et militante historique de la cause des femmes.
A écouter son cri de colère au festival de Cannes en cliquant sur cette ligne
Compétition Sandra, une autrice qui fait de sa vie des romans, est soupçonnée du meurtre de son époux, Samuel, vraisemblablement tombé des combles de leur maison. Époustouflant.
Cinéma. 23 mai 1963, Luchino Visconti reçoit la Palme d’or du Festival international du film de Cannes pour l’adaptation du roman de Giuseppe Tomasi de Lampedusa. Avec, entre autres, Burt Lancaster, Alain Delon et Claudia Cardinale. Du tournage qui dura sept mois à la présence d’un fauve sur la Croisette, tout est démesuré, extravagant, brillant, spectaculaire. Récit.
Déjà célébrées à Cannes, les comédiennes du film d'Emmanuel Carrère se lancent à la conquête des salles obscures
Rien n’est trop beau pour la classe ouvrière, et son bonheur fait plaisir à voir. À l’issue de la projection de Ouistreham, en ouverture de la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, les comédiennes ne s’attendaient pas à cette interminable ovation qui rappelait celle accordée aux GM&S venus soutenir, en 2019, le film de Lech Kowalski On va tout péter. Elles ne s’en sont toujours pas remises. « De tout Cannes, c’est l’ovation qui m’a le plus touchée. C’était magique. C’est impossible à oublier. On ne s’attendait pas à ça. C’était terrible. J’avais la chair de poule. Psychologiquement, on n’avait pas été préparées », avoue Évelyne Porée, qui en a pourtant vu d’autres. « On ne savait plus où se mettre, ni quoi faire sur scène », se souvient Léa Carne. « Dès le début, je me disais : “J’espère qu’on va aller à Cannes.” J’avais déjà imaginé ma robe. Avant d’y aller, Cannes était un rêve. Je voulais monter les marches. Du coup, j’en ai pris plein les yeux. J’ai dégusté chaque moment et j’ai adoré », avoue Emily Madeleine.